Ca y est, c'est Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini !!!!
ziggy-stardust
Si la matière grise était rose, plus personne n'aurait d'idées noires
Vendredi 26 juin 2009 à 8:41
Ca y est, c'est Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini Fini !!!!
Mercredi 17 juin 2009 à 12:53
Demain, début des épreuves du bac 2009.
On y va tous la peur au ventre, dans l'espoir de tomber sur le langage ou la beauté...mais surtout pas sur la philosophie politique...
On y va tous en espérant tomber sur Roméo et Juliette, et surtout pas sur les Pensées de Pascal.
Bon courage à tous les futurs bacheliers...
J'aimerais assurer à tout le monde, que le petit bout de papier arrivera dans leur boîte aux lettres en Septembre. Mais ce serait stupide, parce que je ne connais pas la stricte moitié des gens qui passent ici.
Encore un article inutile, mais qui me donne une raison de laisser tomber une seconde la Littérature et arrêter de penser à ce petit sujet de philo qui déterminera ma vie demain matin, comme à tous les Littéraires...
On y va tous la peur au ventre, dans l'espoir de tomber sur le langage ou la beauté...mais surtout pas sur la philosophie politique...
On y va tous en espérant tomber sur Roméo et Juliette, et surtout pas sur les Pensées de Pascal.
Bon courage à tous les futurs bacheliers...
J'aimerais assurer à tout le monde, que le petit bout de papier arrivera dans leur boîte aux lettres en Septembre. Mais ce serait stupide, parce que je ne connais pas la stricte moitié des gens qui passent ici.
Encore un article inutile, mais qui me donne une raison de laisser tomber une seconde la Littérature et arrêter de penser à ce petit sujet de philo qui déterminera ma vie demain matin, comme à tous les Littéraires...
Dimanche 14 juin 2009 à 15:39
[ Tout souvenir est baigné de larmes. ] 2046
Et ceux-là encore plus.
Angoisse de cet acheminement vers l'avenir. De quoi serai-je capable ?
Comment deviendrai-je ?
Dans l'entreprise du doute, peu de certitudes.
Heureusement que les plus solides sont encore debout, pour me retenir de m'effondrer à mon tour.
L'oubli se fait vite, l'expérience a déjà été faite. Mais vite à quelle échelle ?
"Vite" dans la souffrance passe plus lentement encore.
Un an ? Quelque mois ?
Faire le vide dans sa vie.
Repartir de zéro pour ne garder que quelques visages auxquels je tiens encore.
Oublier le sien.
Mais comment oublier quand le contact est encore là ?
Les larmes ne coulent même plus.
Offrez moi une seconde chance ?
Je ne sais même pas qui j'implore...
Comment, dans dix ans ?
Comment dans vingt ?
Encore là ?
Déjà partie ?
Toujours le souvenir de son absence ?
Mon dieu mais quel ridicule.
Pourquoi toujours ce lunatisme...
Qui ne fait qu'agacer.
Je ne peux plus faire semblant.
D'aimer l'inaccessible et de ne pas voir.
Faire le tri.
Cruel, mais il le faut.
Triste mais il le faut.
Impossible ? Mais il le faut.
Tenter de pleurer
Un soulagement, parait-il.
Mais quand tout est bloqué, les sentiments et les larmes ?
Il ne reste que le vide.
Un vide ridicule.
Il ne reste plus qu'a garder le masque.
Le masque de la joie de vivre pour masquer la solitude et la peur.
Et ceux-là encore plus.
Angoisse de cet acheminement vers l'avenir. De quoi serai-je capable ?
Comment deviendrai-je ?
Dans l'entreprise du doute, peu de certitudes.
Heureusement que les plus solides sont encore debout, pour me retenir de m'effondrer à mon tour.
L'oubli se fait vite, l'expérience a déjà été faite. Mais vite à quelle échelle ?
"Vite" dans la souffrance passe plus lentement encore.
Un an ? Quelque mois ?
Faire le vide dans sa vie.
Repartir de zéro pour ne garder que quelques visages auxquels je tiens encore.
Oublier le sien.
Mais comment oublier quand le contact est encore là ?
Les larmes ne coulent même plus.
Offrez moi une seconde chance ?
Je ne sais même pas qui j'implore...
Comment, dans dix ans ?
Comment dans vingt ?
Encore là ?
Déjà partie ?
Toujours le souvenir de son absence ?
Mon dieu mais quel ridicule.
Pourquoi toujours ce lunatisme...
Qui ne fait qu'agacer.
Je ne peux plus faire semblant.
D'aimer l'inaccessible et de ne pas voir.
Faire le tri.
Cruel, mais il le faut.
Triste mais il le faut.
Impossible ? Mais il le faut.
Tenter de pleurer
Un soulagement, parait-il.
Mais quand tout est bloqué, les sentiments et les larmes ?
Il ne reste que le vide.
Un vide ridicule.
Il ne reste plus qu'a garder le masque.
Le masque de la joie de vivre pour masquer la solitude et la peur.